26 chambres à un lit - 2 chambres à deux lits - cafétéria publique - locaux d’animation - salle à manger - cuisine - bureaux
Sur les bancs d’Aléria, évoque l’importance du banc en tant que lieu d’observation et de sociabilisation pour les personnes âgées.
Les chambres se muent en maisonnettes devant lesquelles chacun dispose d’un banc. Un banc pour observer, se reposer, inviter, discuter avec son voisin. Ce seuil entre privé et collectif redonne au couloir une échelle domestique, teintée d’urbanité.
Le couloir assimilé à une rue, se dilate en placette autour de laquelle s’organise quatre chambres. On se trouve tour à tour devant chez Joseph, devant chez Lydia, invitant les résidents à sortir de chez eux et échanger avec leurs voisins.
Le bâtiment s’inscrit dans la forte pente du terrain. On accède par le rez supérieur, en lien avec le bâtiment d’origine. Au rez inférieur se développent les activités communes, salle à manger, cuisines, locaux de thérapie. Les chambres, se situent aux étages. Ainsi, les programmes institutionnels et stigmatisant sont clairement séparés des lieux de la vie domestique.
Avec 2M ingénierie civile - Groupe technique H2 - Photos Michel Bonvin